SPORSORA décrypte la stratégie sportive de CORUM L’Epargne

Organisation référente dans le développement de l’économie du sport, SPORSORA met en lumière l’engagement initié en 2018 entre CORUM L'Épargne et la voile dans un article publié en août 2021 dans le Quotidien L’Équipe.
Se rapprocher du grand public
SPORSORA, organisation rassemblant des personnalités pluridisciplinaires autour du sport, met en lumière l’engagement de CORUM L’Épargne dans sa rubrique “Parole de sponsor”. Elle note la complexité pour une entreprise comme la nôtre, agissant dans le domaine de l‘épargne, de se rapprocher de son public sans pouvoir faire de publicité ou presque en raison des contraintes réglementaires. « Pour une entreprise qui s’adresse à des particuliers mais qui est peu connue du grand public, l’idée d’un bateau qui affiche son nom, son métier et ses couleurs est séduisante. Surtout quand on fait partie d’un secteur d’activité dont l’accès au marché publicitaire est très encadré. La cohérence d’image est parfaite entre le skipper et son sponsor. L’un comme l’autre sont confrontés à la gestion permanente du risque, à la performance et à l’engagement, que ce soit pour naviguer sur les mers du globe ou sur les marchés financiers. » explique Frédéric Puzin, fondateur de CORUM L’Épargne, interrogé par SPORSORA.

Un projet à fort potentiel
Initié en 2018, le projet de CORUM L’Épargne et la voile permet avant tout de mettre en avant nos valeurs : audace, persévérance, exigence, bienveillance et performance. Mais c’est avant tout l’engagement, la volonté et la maitrise du risque qui sont les maitres mots de cette collaboration. « Nous tenions à associer notre image à un sport et à un navigateur qui incarnent nos valeurs » a affirmé d’ailleurs à ce sujet Frédéric Puzin, en amont de la dernière édition du Vendée Globe.

« Exposition et retombées médiatiques, progression du taux de notoriété, fierté et cohésion des collaborateurs, beaucoup d’indicateurs sont au vert. » SPORSORA le confirme, les conséquences positives de ce projet sont sans appel. Malgré le fait que CORUM L’Épargne soit une entreprise plutôt jeune, nous avons su capter l’attention et la confiance de nouveaux clients qui nous ont découvert à travers cette aventure. CORUM L'Épargne va donc continuer sur sa lancée, puisque ce projet a été lancé en 2018 pour 4 ans.
CORUM L'Épargne garde son cap en matière d’épargne comme de voile
Afin de s’immiscer dans les coulisses de cette incroyable aventure qu’a été le Vendée Globe 2020, CORUM L'Épargne avait diffusé sur sa chaine YouTube une web-série en 6 épisodes, Tu garderas ton cap. Nous y suivions Nicolas Troussel, l’équipage et l’IMOCA CORUM L'Épargne à travers toute la préparation et les épreuves de la compétition. Cette initiative permet d’être au plus proche du compétiteur et de ses émotions, de la ligne de départ jusqu’à l’abandon à la suite du démâtage du bateau le 8ème jour. « Tu garderas ton cap, disait le titre la web-série et on peut le croire, car en matière d’épargne comme de voile ce sont les stratégies de long terme qui sont souvent les plus payantes » souligne SPORSORA.
A (re)voir : Tu Garderas Ton Cap - Épisode 1/6 : Un bateau pour un rêve d'enfant
Dès le 7 novembre prochain, Nicolas Troussel et CORUM L'Épargne repartiront vers le large pour de nouveaux défis. « […] Le skipper et son sponsor se projettent désormais sur la Transat Jacques Vabre 2021, que Nicolas Troussel va disputer en double avec Sébastien Josse, une autre pointure de la course au large. » Le projet voile ne s’arrêtera pas là : à l’horizon, la prochaine Route de Rhum qui partira de Saint Malo en novembre 2022, « et peut-être au-delà. »Depuis l’origine CORUM L'Épargne se positionne comme un acteur différent du marché de l’épargne en France. Notre singularité a su convaincre et nous voulons continuer sur cette voie, en ne cessant de nous démarquer. Les produits d’épargne proposés par CORUM L'Épargne ont su garder le cap malgré la crise sanitaire de 2020 : « Dans notre métier comme dans la course au large, il faut d’abord travailler pour se donner les moyens de bien faire et aller chercher le résultat ensuite. Avec plus ou moins de bonheur au début, éventuellement, mais sans renoncer. Aligner les bonnes planètes, ce n’est pas du hasard : c’est beaucoup de travail en amont » atteste Frédéric Puzin.
Par
CHARLOTTE VIONNET