Assurance vie

Assurance vie : 15 erreurs à éviter !

La presse le répète régulièrement : l’assurance vie fait partie des placements préférés des Français. Cela ne veut pas dire qu’ils en maîtrisent tous les rouages et évitent les pièges de cette solution plus complexe qu’elle n’en a l’air… Nos conseils pour éviter les faux pas et optimiser la gestion de votre épargne.

 

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Attendre pour ouvrir un contrat d'assurance vie

L’assurance vie, vous y pensez, mais vous attendez d’avoir un certain capital à placer ? Vous vous dites qu’il sera toujours temps plus tard, quand les enfants seront partis, quand vous aurez touché une prime, revendu votre maison ou reçu de généreuses étrennes… Peut-être disposez-vous déjà d’une épargne à placer, mais craignez-vous d’être bloqué et de ne pas pouvoir utiliser cette épargne en cas de besoin ?

Notre conseil : il est pourtant dommage d’attendre pour souscrire un contrat d’assurance vie. Prendre date est important : c’est à partir du premier versement qu’est définie la date anniversaire de votre contrat. Or, si par la suite vous retirez de l’argent de votre contrat, la fiscalité évolue en fonction de l’ancienneté de ce contrat : les gains réalisés par votre épargne sont fiscalisés différemment selon que le contrat a plus ou moins de 8 ans d’ancienneté. Ainsi, après 8 ans de détention, vous bénéficiez pleinement des avantages fiscaux liés à l’assurance vie  sur les plus-values, en cas de retrait, à commencer par un abattement annuel de 4 600 € pour une personne seule ou 9 200 € pour un couple. Puis, toujours concernant ces plus-values, en cas de retrait : pour la part du contrat correspondant aux versements inférieurs à 150 000 €, vous avez le choix entre un prélèvement forfaitaire libératoire de 7,5 % ou l’imposition au barème de l’impôt sur le revenu ; pour la part du contrat correspondant aux versements supérieurs à 150 000 €, vous choisirez entre le prélèvement forfaitaire unique (PFU) à 12,8 % ou l’imposition au barème de l’impôt sur le revenu. Dans tous les cas, les prélèvements sociaux s’appliquent au taux de 17,2 %. 

Contrairement à une idée reçue, l’argent n’est pas  bloqué pendant ces 8 années : il est toujours possible d’effectuer un retrait, sans motif ni limite. Attention toutefois à tenir compte de la durée de placement recommandée pour optimiser votre épargne.

Ne pas remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même prend ici tout son sens…

 

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N'ouvrir qu'un contrat d'assurance vie alors que plusieurs peuvent répondre à différents besoins

Alors que vous ne pouvez détenir qu’un livret A ou un PEA, vous avez parfaitement le droit d’ouvrir plusieurs contrats d’assurance vie, et ce sans plafonnement. Il est même intéressant de le faire à plus d’un titre. Premièrement, il peut être judicieux de détenir un contrat par type de projets à financer. Non seulement, cela offre plus de clarté, mais surtout vous pourrez gérer différemment chaque contrat, en fonction de vos objectifs. Deuxièmement, cela introduit davantage de diversification pour votre épargne, avec en corollaire une optimisation des performances potentielles et une meilleure mutualisation des risques. Troisièmement, ouvrir une assurance vie par bénéficiaire permet, si c’est votre souhait, de privilégier un ou plusieurs bénéficiaires de votre choix tout préservant une certaine discrétion puisque chacun des bénéficiaires restera dans l’ignorance du montant reçu par les autres. Quatrièmement enfin, cela vous permet de bénéficier plusieurs fois de la garantie des sommes placées en cas de faillite de l’assureur, garantie de 70 000 euros maximum (tous contrats confondus) par déposant et par compagnie d’assurance.    La bonne nouvelle reste que, depuis sa création en 1999, le fonds de garantie n’a jamais eu à intervenir… !

 

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Souscrire sans avoir identifié et compris tous les frais

Les frais sont souvent l’une de vos premières préoccupations au moment de souscrire un contrat d’assurance vie. Vous observez de près les frais d’entrée du contrat, ceux qui vous sont prélevés à l’ouverture ainsi qu’à chaque versement. Ces frais impactent le montant de votre épargne investie qui sera amené à potentiellement fructifier. D’autres frais peuvent s’appliquer comme les frais de gestion, récurrents chaque année, mais aussi les frais de sortie au moment des retraits, ou encore les frais d’arbitrage, prélevés lorsque vous modifiez la répartition de votre épargne à l’intérieur de votre contrat. Tous ces frais sont attachés au contrat lui-même. 

En dehors de ces frais, il existe des frais liés à chacun des produits que vous insérez dans votre contrat : il s’agit des frais de fonctionnement propres à la SCPI, au fonds obligataire ou au fonds action par exemple auquel vous allez souscrire dans votre enveloppe d’assurance vie.

Certains assureurs suppriment les frais d’entrée, les frais de sortie et/ou les frais d’arbitrage appliqués sur les contrats. Attention : cette suppression peut être compensée par des frais de gestion plus importants. Or, parce qu’ils impactent votre épargne chaque année, ces frais de gestion peuvent affecter  la performance de votre contrat plus fortement sur la durée que des frais d’entrée.  

Bon à savoir : Le contrat CORUM Life ne comprend lui ni frais de souscription, ni frais de versement, ni frais de gestion, ni frais d’arbitrage : seuls demeurent les frais directement liés aux fonds figurant dans le contrat. Donc la performance de votre contrat est celle des fonds que vous y intégrez. Une manière unique de profiter des stratégies de gestion mises en œuvre par les produits de la gamme CORUM L’Épargne, qui font leurs preuves depuis plus d’une décennie.  

 

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Investir uniquement dans un type de fonds par exemple le fonds euro

Ne mettez pas tous vos œufs dans le même panier : le fameux adage s’applique aussi au contrat d’assurance vie. Diversifier reste votre meilleur allié pour lisser les risques pris par votre épargne tout en cherchant de la performance. Ainsi tout miser sur le fonds en euros au prétexte que le capital est garanti est loin d’être opportun. Son rendement ne cesse de s’éroder depuis plus d’une décennie. En 2021 comme en 2020, il n’a rapporté en moyenne que 1,30 %*  (nets de frais de gestion et avant prélèvements sociaux (17,2 %)). Par ailleurs, contrairement à une idée reçue, le fonds euro n’est pas totalement sans risque. Certes, les assureurs s’engagent à protéger votre capital quelle que soit la situation.   Mais attention : certains garantissent un capital net de frais de gestion, donc pas l’intégralité de votre épargne… Par ailleurs, dans l’hypothèse où tous les épargnants décideraient de récupérer leur épargne en même temps, l’assureur ne serait pas forcément en mesure d’honorer toutes ces demandes. Des mécanismes de sécurité existent toutefois pour protéger votre épargne à hauteur de 70 000 euros par déposant et par compagnie. M  ais vous l’aurez compris : investir en fonds euros ne veut pas dire sécurité absolue. 

 

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Revendre quand les marchés sont en baisse

C’est un réflexe tentant : fuir quand tout va mal. Mais voilà une réaction à éviter sur les marchés financiers ! Même lorsqu’un fonds de votre contrat d’assurance vie décroche, ne vous laissez pas tenter par l’envie de revendre vos unités de compte. Pourquoi ? Parce que vous acteriez alors définitivement la perte constatée. Tant que vous restez investi sur le fonds, vous n’en concrétisez pas la baisse. Le meilleur conseil lorsque les marchés sont agités ? Faire le dos rond en attendant que l’orage passe. Car les marchés fonctionnent ainsi : ils sont cycliques. L’idée consiste donc à attendre sagement que la tendance s’inverse pour profiter de la remontée  éventuelle de votre fonds le moment venu   . Vous profiterez ainsi pleinement de cette éventuelle remontée dès le premier jour, ce qui ne serait probablement pas le cas si vous sortiez et deviez attendre de constater la reprise pour revenir sur le fonds. Bien sûr, si, après analyse, le fonds ne vous semble absolument plus pertinent sur le long terme, il peut être sage d’en sortir et de repositionner votre épargne sur une autre unité de compte proposée par votre contrat.

Notre conseil : Pour ces raisons, il est important d’envisager l’assurance vie comme un placement de temps long et surtout pas comme un investissement de court terme.

De façon générale sur les marchés financiers : ne surréagissez pas en période de crise. Cela conduit souvent à prendre de mauvaises décisions. Se pencher sur son contrat régulièrement selon la situation de marché et de votre situation pour analyser son évolution sera bien plus efficace. 

 

5 bis

Ne pas investir dans l'assurance vie quand les marchés sont baissiers

Non seulement il ne faut pas revendre ses parts quand les marchés sont baissiers (voir point précédent), mais il est même conseillé d’en profiter pour continuer d’investir ! Même si cela vous paraît contre intuitif : vous achèterez moins cher et optimiserez ainsi de futures plus-values potentielles. En corollaire,  préférez revendre après avoir enregistré une hausse : vous protègerez ainsi vos gains d’une future baisse… 

 

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Ne pas verser d'argent après 70 ans

On entend souvent dire qu’il ne faut plus verser d’argent en assurance vie après 70 ans… Cette idée reçue est liée à la fiscalité de l’assurance vie en cas de décès. En effet, les sommes versées sur le contrat avant cet âge ne sont pas soumises aux droits de succession. Elles font l’objet d’un prélèvement de 20 % (jusqu’à 852 500 € transmis), après un abattement de 152 500 € par bénéficiaire. En clair : l’assurance vie vous permet de transmettre à votre décès hors succession jusqu’à 152 500 € aux personnes de votre choix que vous aurez désignées bénéficiaires sur votre contrat. A condition que les sommes concernées aient été versées sur le contrat avant vos 70 ans. Car pour les versements réalisés après cet âge, la fiscalité change radicalement : ils sont imposables aux droits de succession (les intérêts générés ne l’étant pas), après abattement de 30 500 euros (pour les contrats ouverts depuis le 20 novembre 1991). 

Notre conseil : Ce n’est pas pour cela qu’il faut cesser d’investir en assurance vie après 70 ans. Cet outil reste pertinent pour une bonne gestion de votre patrimoine. Notons que les intérêts générés par les sommes versées après 70 ans ne sont pas soumis aux droits de succession (mais ils subissent en revanche les prélèvements sociaux). Privilégiez alors l’ouverture d’un nouveau contrat pour les sommes que vous souhaitez verser après 70 ans (voir le point suivant). 

 

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Après 70 ans, ne pas ouvrir un nouveau contrat pour ses versements et ses retraits

S’il est intéressant de continuer à épargner en assurance vie après 70 ans (voir point précédent) malgré une fiscalité successorale moins attractive, privilégiez en revanche l’ouverture d’un nouveau contrat pour les sommes que vous souhaitez verser après cet âge. Pourquoi ? Parce que si vous les versez sur un contrat existant , lorsque vous effectuerez un retrait, celui-ci sera prélevé aussi bien sur les sommes versées après 70 ans que sur les sommes versées avant. Vous entamerez donc la partie de votre contrat la plus intéressante en termes de fiscalité successorale.
Notre conseil : en résumé, après 70 ans, ouvrez un nouveau contrat d’assurance vie et effectuez vos retraits éventuels sur ce contrat. 

 

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Désigner un seul bénéficiaire 

La clause bénéficiaire désigne la ou les personnes auxquelles vous souhaitez transmettre vos capitaux après votre décès. Sa rédaction doit faire l’objet du plus grand soin. Une erreur de formulation pourrait affecter le bon respect de vos volontés successorales. 
La première erreur serait de ne désigner qu’un bénéficiaire. Le risque ? Qu’il décède avant vous ou souhaite renoncer au bénéfice du contrat.  L’assurance vie entrerait alors dans la succession : les capitaux seraient transmis à vos héritiers selon les règles habituelles de la transmission et subiraient des droits de succession. 

Notre conseil : Pour éviter cette situation, prévoyez la désignation de bénéficiaires en cascade. Si le bénéficiaire de premier rang décède avant vous ou n’accepte pas le bénéfice du contrat, les capitaux reviennent au(x) bénéficiaire(s) de deuxième rang, et ainsi de suite. Dans la rédaction de la clause bénéficiaire, le terme « à défaut » viendra séparer chacun des rangs prévus : « Mon conjoint non séparé de corps, à défaut mes enfants nés ou à naître, vivants ou représentés, par parts égales entre eux, à défaut etc. ». Terminez toujours la  formulation par « à défaut mes héritiers ».

 

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Ne pas rédiger une clause spécifique si vous êtes pacsé 

Si vous êtes pacsé, faites attention à la clause bénéficiaire intégrée d’emblée au contrat par les assureurs. La formule type débute par : « Mon conjoint ». Or juridiquement, le terme « conjoint » ne désigne que les personnes mariées ; le partenaire de PACS n’a pas la qualité de conjoint. 

Notre conseil : Si vous souhaitez transmettre les capitaux de votre assurance vie à votre partenaire de PACS, complétez la clause comme suit : « Mon conjoint ou partenaire de PACS ». Et n’oubliez pas de conclure la clause par la mention « à défaut mes héritiers ».

 

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Envisager un placement à court terme dans l'assurance vie 

S’il est à tout moment possible de faire des retraits sur son assurance vie (sauf cas particulier de certains fonds), l’assurance vie reste  très majoritairement une solution de long terme. N’ouvrez pas un contrat dans l’objectif d’en ressortir les fonds au bout de quelques mois ou quelques années. Vous n’auriez pas le temps d’amortir les frais prélevés à la fois par le contrat (le cas échéant) et  par les différents fonds sélectionnés. 

Souvenez-vous aussi que les avantages fiscaux  sur les plus-values en cas de retrait ne s’appliquent qu’au bout de 8 ans de détention du contrat. Passé ce délai, vous bénéficiez en effet d’un abattement annuel sur vos gains de 4 600 € (9 200 € pour un couple). Au-delà de cet abattement, vos gains sont taxés au taux réduit de 7,5 % pour ceux liés aux versements inférieurs à 150 000 € (12,8 % pour ceux liés aux versements supérieurs à 150 000 €), ou, sur option au barème de l’impôt. Ils sont également soumis aux prélèvements sociaux (17,2 %). En revanche, si le retrait intervient avant 8 ans de détention, les gains ne bénéficient d’aucun abattement. Ils sont taxés au taux de 12,8 % ou, sur option, au barème de l’impôt et soumis aux prélèvements sociaux (17,2 %). 

 

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Retirer l'épargne de son assurance vie avant 8 ans

Nous venons de l’expliquer, même si vous pouvez à tout moment retirer l’épargne de votre contrat d’assurance vie, le faire avant 8 ans de détention n’est pas une bonne idée. D’une part, vous ne bénéficieriez pas de l’avantage fiscal sur vos retraits : en particulier les abattements de 4 600 euros pour une personne seule ou 9 200 euros pour un couple, mais aussi le taux d’imposition réduit de 7,5 % au lieu de 12,8 % pour la partie des gains issue des versements inférieurs à 150 000 euros. D’autre part, vous n’auriez pas forcément le temps d’amortir les frais prélevés à la fois par le contrat (le cas échéant) et par les fonds sur lesquels vous avez placé votre épargne. Un peu de patience donc !  

Notre conseil : Evitez dans tous les cas le retrait total de votre épargne qui entrainerait la fermeture du contrat et supprimerait de facto son ancienneté. En cas de retrait obligatoire, gardez toujours un minimum d’euros sur le contrat pour conserver son antériorité fiscale. Vous serez bien content d’en profiter lorsque vous serez revenu à meilleure fortune !

 

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Souscrire sur une promesse de taux ou un taux haut affiché, sans analyser l’historique de performance (ou « track record »)

Une fois encore, gare aux miroirs aux alouettes ! Certains assureurs annoncent des promesses de rendement séduisantes, d’autres affichent une performance passée particulièrement haute… Pourtant rappelons-le : les performances passées ne préjugent pas des performances futures. Quant aux promesses, elles n’engagent que ceux qui y croient ! 

Notre conseil : l’assurance vie est une solution de long terme ; vous ne souscrivez pas un contrat pour le fermer dans un ou deux ans. Un assureur peut toujours vous appâter avec une promesse de rendement garanti sur un an. Mais qu’en sera-t-il ensuite ? Le meilleur moyen de vérifier la qualité d’un contrat reste d’analyser son historique de performances sur plusieurs années et sa tendance.  Certes, elles ne garantissent pas les performances futures, mais elles attestent toutefois du savoir-faire de la gestion. Intéressez-vous à l’équipe de gérants dont l’objectif consiste à prendre les décisions adéquates pour aller chercher la performance.

 

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Ne pas regarder le niveau de risque des fonds du contrat

Un contrat d’assurance vie s’apparente à une enveloppe, dans laquelle vous glissez les différents fonds que vous sélectionnez. En fonction des fonds choisis, l’exposition au risque est plus ou moins forte pour votre épargne. L’AMF a établi 7 niveaux de risque ; chacun des fonds éligibles à votre contrat d’assurance vie reçoit donc une note de 1 à 7 vous permettant d’en juger le degré d’aléa. Le produit le moins exposé au risque (mais pas dénué de risque contrairement à l’idée largement répandue), le fonds euro, reçoit la note de 1 tandis que les actions se situent généralement entre 5 et 7. 

Notre conseil : Lors de votre investissement, l’objectif sera de trouver l’équilibre qui vous convient le mieux, entre performance potentielle et risque encouru. Il est donc important d’analyser le niveau de risque des fonds retenus, au-delà de leur seule promesse de rendement ou de leur historique de performance. Un élément à bien avoir en tête avant de souscrire !

 

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Penser qu’il est important de choisir une compagnie bancaire ou une compagnie d’assurance connue

Par facilité, besoin d’être en confiance ou parce que vous ne savez pas franchement vers qui vous tourner, vous préférez ouvrir un contrat auprès de votre banque ou d’une compagnie d’assurance connue. Un choix qui n’est pas toujours  judicieux. 

Ces établissements ont tendance à proposer des contrats assez standards, donc pas forcément adaptés à votre profil et à vos projets. Autre problématique : un banquier ou un assureur distribue des solutions d’assurance vie sans être forcément fabricant et gérant des fonds qu’il propose. Ainsi, les contrats commercialisés par les grands réseaux bancaires ou les grandes compagnies d’assurance peuvent être largement construits en marque blanche, c’est-à-dire qu’ils donnent accès à une gamme de produits extérieurs à la compagnie. Conséquence ? Votre interlocuteur ne connaît pas toujours très bien les solutions qu’il vous conseille. C’est donc faire courir un risque mal maîtrisé à votre épargne...  Sans parler du millefeuille de frais qui s’appliquent alors à votre épargne, chacun (banquier/assureur et gestionnaires des fonds) se servant au passage…

Du côté des banques en ligne dont l’offre commerciale peut vous séduire, vérifiez la qualité du service client car elle n’est pas toujours au rendez-vous. 
Bon à savoir : faire appel à un spécialiste du sujet, dont le métier est réellement de concevoir des solutions immobilières et obligataires, c’est accéder à des produits et à une qualité de service uniques sur le marché. Et c’est justement la proposition de CORUM Life.

 

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Penser qu’il faut privilégier les contrats proposant une large gamme de fonds

Vous le savez : il est important de diversifier vos placements afin de limiter la prise de risque pour votre épargne. Partant de ce postulat, de nombreux acteurs intègrent à leur contrat d’assurance vie une offre pléthorique de fonds disponibles. Certains contrats dépassent ainsi la centaine de produits ! 
Pourtant, trop de choix tue le choix ! D’une part, cette diversité ne vous aide pas à choisir ; d’autre part, vous - ou votre conseiller - finissez généralement par ne répartir votre épargne qu’entre cinq ou six fonds maximum. Car il faut se rendre à l’évidence : premièrement, vous ne pouvez pas connaître et maîtriser l’ensemble des fonds disponibles – or, nous venons de le dire, il est essentiel que vous compreniez sur quoi vous investissez et comment va être gérée votre épargne. Deuxièmement, il sera bien plus facile de suivre dans le temps l’évolution de ces cinq ou six fonds, plutôt que des dizaines ou centaines de lignes !

Bon à savoir : CORUM Life vous donne accès en exclusivité aux 7 fonds de la gamme CORUM L’Épargne : 3 SCPI et 4 fonds obligataires. Les conseillers CORUM L’Épargne sont là pour vous accompagner dans votre souscription, afin d’assurer une allocation sur mesure et un suivi dans le temps de votre épargne. 

 

Par

ELISA NOLET

 

* Source : France Assureurs  (anciennement Fédération Française de l’Assurance), conférence de presse du 30 mars 2022
CORUM Life est un contrat d’assurance vie en unités de compte. Les unités de compte sont les parts de SCPI et des fonds obligataires de la gamme CORUM L’Épargne qui composent en exclusivité le contrat. Ces produits présentent des risques propres incluant celui de perte en capital. Contrairement au contrat d’assurance vie en fonds euros qui investit par exemple dans les obligations d’État, CORUM Life n’offre aucune garantie en capital (sauf en cas de décès jusqu’à 65 ans). Les montants investis dans le contrat CORUM Life sont donc sujets à des fluctuations, à la hausse ou à la baisse, et présentent des risques dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers ou immobiliers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

CORUM Life est un contrat d'assurance vie en unités de compte géré par la compagnie d'assurance CORUM Life, société au capital social de 20 000 000 €, régie par le Code des assurances et agréée auprès de l’ACPR. Il est distribué par CORUM L'Épargne, 1 rue Euler 75008 Paris, agissant en qualité d'agent général d'assurance inscrit à l'ORIAS sous le n° 20002932. 

CORUM L'Épargne, SAS au capital social de 101 304,09 €, RCS Paris n° 851 245 183, siège social situé 1 rue Euler 75008 Paris, inscrite auprès de l’ORIAS sous le numéro 20002932 (www.orias.fr) en ses qualités de conseiller en investissements financiers, membre de la CNCIF, chambre agréée par l’AMF, de mandataire en opérations de banque et services de paiement, de mandataire d'intermédiaire d'assurance et d’agent général d’assurance sous le contrôle de l’ACPR, 4, place de Budapest CS 92459 75436 Paris Cedex 9.