Vacances de rêve : quelle épargne choisir pour partir l’esprit léger ?

Le soleil brille, l’agenda se libère, et vous commencez à rêver de cette escapade en bord de mer, de ce trek au cœur des Andes ou simplement de quelques jours pour souffler loin du quotidien. Mais voilà : avant de boucler votre valise, encore faut-il boucler votre budget. Et si le bon réflexe était d’anticiper dès maintenant vos futures vacances, grâce à une stratégie d’épargne adaptée à vos projets ?

Des solutions existent pour les envies immédiates, tandis que d’autres, un peu plus ambitieuses, permettent de préparer un grand voyage dans plusieurs années. Voici donc quelques pistes pour vous aider à choisir les bons placements selon vos envies d’évasions.  

L’épargne “prête à partir” : simple, sûre et disponible

Si votre voyage est prévu dans les prochains mois, inutile de chercher des rendements spectaculaires. Le mot d’ordre, ici, c’est la liquidité. Vous devez pouvoir disposer de votre argent rapidement, sans subir de pertes en capital.

Pour cela, les livrets d’épargne réglementés (Livret A, LDDS) restent des outils de référence. Leurs avantages : ils sont sans frais, exonérés d’impôt sur les intérêts, et surtout totalement sécurisés. En revanche, leur rémunération reste limitée. Pour preuve, le taux du Livret passera à 1,7% dès le 1er aout 2025. Autrement dit, ces supports sont idéaux pour placer quelques milliers d’euros pendant une courte période, mais ils ne sont pas faits pour dynamiser votre épargne.

Préparer un grand voyage, dans 2 à 5 ans : l’épargne projet

Un tour du monde, un safari en Afrique, un road-trip au Japon… Autant de vacances qui font rêver, mais qui ne s’improvisent pas. Pour ce type de projet à horizon moyen terme, vous avez justement un atout précieux : le temps. Et avec un peu d’anticipation, vous pouvez mettre en place une stratégie d’épargne efficace, qui ne se contente pas de laisser dormir votre argent, mais le fait travailler pour vous.

C’est là que l’assurance vie, souvent vue comme un produit patrimonial à long terme, peut devenir une véritable épargne projet. Si vous disposez déjà d’un contrat, comme CORUM Life, vous avez une base idéale pour planifier votre voyage. En mettant en place des versements programmés, vous épargnez mois après mois, sans y penser – une excellente façon d’instaurer une discipline douce et régulière. Comme pour un abonnement, mais cette fois c’est pour financer vos rêves.

Avec une assurance vie multisupport, vous avez aussi la liberté de répartir votre épargne selon votre profil : une part sécurisée en fonds euros, et une part plus dynamique en unités de compte (épargne en actions, obligations, immobilier…). CORUM Life permet justement ce type de répartition, en accédant à une grande diversité de supports. De quoi viser un rendement plus intéressant que celui des livrets traditionnels, tout en conservant la possibilité de retirer votre argent quand le moment est venu.

Et cerise sur le gâteau : si votre contrat d’assurance vie a plus de 8 ans au moment où vous mobilisez votre épargne pour financer votre voyage, vous profitez d’une fiscalité spécifique. En clair, les plus-values que vous avez générées sont partiellement ou totalement exonérées d’impôt (selon le montant que vous retirez). Cela veut dire que non seulement vous avez épargné progressivement, mais qu’en plus, vous retirez les fruits de votre effort dans les meilleures conditions fiscales possibles.

Et si vos vacances étaient payées… par vos revenus d’épargne ?

Enfin, ultime option et non des moindres, pour ne pas puiser dans votre épargne ou votre compte courant pour partir en vacances. Concrètement : si c’étaient vos placements qui finançaient votre voyage ? Il s’agit là d’un scénario tout à fait envisageable, notamment si vous choisissez des solutions d’investissement capables de générer des revenus réguliers (non garantis), à l’image des SCPI (Sociétés Civiles de Placement Immobilier).

Le principe est simple : en investissant dans une SCPI, vous achetez des parts d’un portefeuille immobilier (bureaux, commerces, entrepôts, etc.) géré par des professionnels. Ces immeubles sont ensuite loués, et les loyers collectés vous sont redistribués, sous forme de revenus mensuels ou trimestriels, dont le montant n’est toutefois pas garanti.  

Imaginez maintenant : au lieu de mettre de côté une partie de votre salaire chaque mois pour vos vacances, vous laissez votre épargne travailler pour vous. Les loyers potentiellement versés par la SCPI peuvent être automatiquement placés sur un compte dédié, que vous utiliserez quelques mois plus tard pour réserver votre billet d’avion, louer un logement ou même profiter sur place.  

CORUM L’Épargne propose plusieurs SCPI qui vous permettent d’accéder à l’immobilier d’entreprise en Europe et même aux États-Unis, avec une gestion clé en main et un objectif de rendement clairement affiché (même s’il n’est pas garanti). Cependant, en contrepartie, il faut garder en tête que l’investissement en SCPI est préconisé pour le long terme (au moins 8 ans recommandés), et que le capital n’est pas garanti.  

Une fois installé, ce type de placement peut devenir un véritable levier d’indépendance financière. Au fond, l’idée est simple : plutôt que de financer vos vacances avec votre argent courant, faites-le avec l’argent que vous rapporte votre épargne.  

Et si cette fois, vos vacances commençaient bien avant de monter dans l’avion ? Imaginez : le plaisir de réserver sans stress, de choisir sans compromis, de profiter sur place sans culpabiliser — parce que vous avez justement préparé ce moment avec intelligence, en laissant votre épargne faire le travail pour vous. Que vous partiez dans six mois ou dans cinq ans, que vous visiez un week-end en Europe ou un long périple à l’autre bout du monde, vous avez désormais les clés pour choisir le bon véhicule d’épargne, au bon moment.

Les produits commercialisés par CORUM L'Épargne sont des investissements long terme qui n’offrent aucune garantie de rendement ou de performance et présentent un risque de perte en capital et de liquidité. Les revenus ne sont pas garantis et dépendront de l’évolution du marché immobilier, financier et du cours des devises. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. 
 

Par

Faustine RIOT