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Les produits commercialisés par CORUM L'Épargne sont des investissements long terme qui n’offrent aucune garantie de rendement ou de performance et présentent un risque de perte en capital et de liquidité. Les revenus ne sont pas garantis et dépendent de l’évolution du marché immobilier et financier et du cours des devises. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

 

 

Pierre Papier

La pierre papier désigne les placements immobiliers collectifs : sociétés civiles de placement immobilier (SCPI), organismes de placement collectif en immobilier (OPCI), sociétés civiles immobilières (SCI) ou encore sociétés d’investissement immobilier cotées. Le mot “pierre” fait référence aux biens immobiliers et “papier” fait référence au titre de propriété, associé aux parts de ces sociétés. Autrement, dit, il s’agit d’un investissement immobilier locatif indirect, qui permet d’investir notamment dans des immeubles à travers la détention de parts d’une société. La pierre papier existe depuis les années 1960 et est très encadrée juridiquement, notamment par l’Autorité des marchés financiers (AMF). 

Investir dans la pierre papier est souvent plus accessible que d’investir dans l’immobilier en direct, puisqu’il est possible d’acheter une part de SCPI par exemple avec un capital de quelques centaines d’euros. C’est également un placement moins contraignant pour les investisseurs, qui deviennent alors associés : ce sont des sociétés de gestion qui prennent en charge toutes les activités liées à l’investissement. Cela permet de se décharger des contraintes qui sont celles de l’immobilier en direct, liées à l‘identification du bien immobilier à acquérir, à sa gestion, et à la recherche et gestion des locataires. En contrepartie, des frais de gestion sont prélevés à l’investisseur sur les revenus locatifs générés par la SCPI. Ces frais ont pour but de rémunérer la gestion locative et administrative du patrimoine immobilier. Après déduction de ces frais, les loyers issus de la location des parcs immobiliers sont redistribués aux associés sous forme de dividendes potentiels. L’objectif de ce placement est donc notamment de fournir un potentiel revenu complémentaire à l’investisseur.