Assurance vie

10 idées reçues sur l’assurance vie

L’assurance vie, « placement préféré des Français », séduit par sa souplesse d’utilisation, sa diversification et sa fiscalité. Le 9 juin dernier, CORUM L’Épargne a convié les épargnants à un webinaire de décryptage des 10 principales idées reçues concernant l’assurance vie, dans le but de répondre aux questions qu’ils se posent. L’occasion de se repencher sur la nature et les objectifs de ce placement, et de battre en brèche certaines opinions répandues. 

Les produits commercialisés par CORUM L'Épargne sont des investissements long terme qui n’offrent aucune garantie de rendement ou de performance et présentent un risque de perte en capital et de liquidité. Les revenus ne sont pas garantis et dépendront de l’évolution du marché immobilier et financier et du cours des devises. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

 

1

L’assurance vie est un mille-feuille de frais

La plupart des contrats d’assurance vie proposent une centaine de fonds. Ces fonds ne sont pas gérés directement par l’assureur, mais par des sociétés de gestion financières. Cette externalisation a un prix pour l’épargnant : celui des différents types de frais qu’il va devoir supporter. Frais de souscription, frais sur versement, frais de gestion, frais d’arbitrage : aux frais liés aux fonds, viennent s’ajouter les nombreux frais liés au contrat lui-même. Pour l’épargnant, ils ont un impact direct sur le rendement du contrat, qu’ils viennent rogner.
Pour permettre à l’épargnant de faire la part des choses, la réglementation oblige désormais l’assureur à faire figurer sur le relevé trimestriel ou annuel le détail des frais prélevés. Ce qui permet une bonne visibilité non seulement sur les types de frais, mais aussi sur le rendement en lui-même.
Le contrat CORUM Life est unique sur le marché car il n’applique aucuns frais supplémentaires sur le contrat, l’épargnant ne supporte que les frais des fonds qui le composent. Comme dans le cas d’une souscription en direct à ces mêmes fonds. Aucuns frais supplémentaires liés au contrat ne viennent donc minorer la performance.

 

2

Si j’investis dans l’assurance vie, je risque d’avoir de faibles rendements.

L’assurance vie la plus connue et la plus courante est celle des contrats investis en fonds en euros, ces fonds à capital garanti principalement constitués d’obligations d’États. Mais le rendement des fonds en euros est en baisse constante depuis plus de 10 ans, en raison de la baisse des taux d’intérêt notamment. Ils n’offrent donc plus de perspectives de rendement intéressantes pour l’épargnant. Or selon le baromètre 2020 de l’épargne et de l’investissement de l’AMF1, les Français attendent un taux de rendement moyen de 2,6 % pour un placement sans risque (comme le sont les fonds en euros), et à partir de 5,2 % pour un placement risqué. Loin du rendement moyen des fonds en euros en 2020, à 1,3 %2.

Un placement dit risqué en assurance vie, est un contrat investi non en fonds en euros, mais en unités de compte. Ces unités de compte permettent de placer tout ou partie du capital sur un ou plusieurs supports financiers différents : actions, obligations, fonds immobiliers… L’objectif est de constituer un portefeuille diversifié et de chercher à en obtenir un rendement plus important, en contrepartie d’une prise de risque plus grande incluant notamment la perte en capital.

Le risque propre à chaque type d’unité de compte est une information que l’épargnant doit prendre en compte, afin que son contrat soit le plus aligné possible avec son profil et ses objectifs. Par exemple, les actions sont des unités de compte particulièrement volatiles, davantage que les fonds immobiliers (SCPI notamment).

Le contrat CORUM Life est 100 % en unités de compte, qui sont des parts de fonds immobiliers (les SCPI CORUM Origin et CORUM XL) et de fonds obligataires (BCO, CORUM Butler Smart ESG, CORUM BEHY, CORUM BSD). En 2020, pour sa première année, la formule Équilibre (investie 60 % en obligataire et 40 % en immobilier) a réalisé une performance de 5,6 %, sans que ceci ne puisse présager de ce que seront ses performances à l’avenir. 

Par ailleurs, l’assureur peut proposer une garantie du capital en cas de décès du souscripteur avant un âge donné. Le contrat CORUM Life l’inclut sans surcoût : cette garantie porte sur 100 % des sommes versées (hors frais) en cas de décès jusqu’à 65 ans, puis est dégressive de 5 % par an jusqu’à 75 ans, pour atteindre 50 % à 75 ans.

 

3

C’est opaque, je ne sais pas où est placé mon argent.

 Au moment de sa souscription, l’épargnant a la possibilité de choisir les fonds dans lesquels il souhaite placer son argent. En raison de leur nombre – plusieurs centaines parfois au sein d’une seul contrat - et de leur nature souvent complexe, ils sont difficilement lisibles pour l’épargnant. Afin de ne pas créer de sentiment d’opacité et de confusion, l’épargnant peut choisir d’investir dans des fonds dont il comprend le fonctionnement et la finalité.

CORUM Life ne propose que six fonds, connectés à l’économie réelle : deux SCPI (fonds investis en immobilier professionnel) et quatre fonds obligataires (financement de projets d’entreprises). Ces fonds « maison » sont gérés par le groupe CORUM, dont fait partie la compagnie d’assurance vie CORUM Life. L’offre est restreinte, afin de ne pas complexifier la lecture du contrat : une approche « circuit court », du producteur à l’épargnant, unique. La communication régulière et transparente réalisée sur les activités des fonds (acquisitions et ventes d’immeubles, entreprises financées) permet de rendre le placement concret et compréhensible. 

 

4

Je ne veux pas bloquer mon argent, au cas où.

L’épargne de précaution et l’épargne long terme n’obéissent pas aux mêmes objectifs, ni aux mêmes critères d’investissement. L’épargne de précaution est celle que tout un chacun se constitue afin de faire face aux éventuelles dépenses à court terme : coups de cœur, coups durs. Elle doit être disponible à tout moment, et est généralement placée sur des livrets liquides et à capital garanti (livret A, LDDS). L’épargne long terme répond au besoin de prévoir l’avenir : des projets à financer, une retraite à anticiper, un patrimoine à développer. Elle doit donc être potentiellement plus rémunératrice, ce qui implique pour l’épargnant d’accepter une prise de risque plus importante. Mais parce que cet investissement s’inscrit sur un temps long, le risque de voir son capital subir une crise ou une tendance de marché à la baisse, est dilué. Le rendement potentiel augmente avec la durée d’investissement.

De plus, l’assurance vie est un placement liquide, qui permet à l’épargnant de retirer son argent, partiellement ou totalement, à tout moment : il n’est pas bloqué. Toutefois, les retraits effectués avant huit ans de détention de contrat ne permettent pas de bénéficier de l’avantage fiscal sur les plus-values offert par l’assurance vie. CORUM Life n’applique aucuns frais en cas de retrait partiel ou total.

 

5

Les placements intéressants sont réservés à ceux qui ont beaucoup d’argent. 

L’assurance vie fait partie des placements où le ticket d’entrée est assez bas : il est possible d’ouvrir un contrat même avec une petite somme de départ. Le contrat CORUM Life peut ainsi être souscrit à partir de 50 €. Les placements dits intéressants sont ceux qui, par définition, offrent de meilleures perspectives de rendement – donc, nécessitent une prise de risque plus importante, dont la perte en capital. Le niveau de rendement dépend uniquement du profil de l’épargnant, et du niveau auquel il souhaite placer ce curseur.

Le groupe CORUM a toujours eu pour conviction que chacun a le droit d’accéder à une épargne potentiellement performante, en fonction de ses objectifs. Le contrat CORUM Life permet d’investir dans des fonds obligataires jusque-là réservés à des investisseurs institutionnels, et dans l’immobilier via les SCPI. Les SCPI CORUM Origin et CORUM XL, disponibles au sein du contrat, ont en 2020 dépassé le taux de rendement moyen du marché3.

 

6

Si mon épargne génère des intérêts, je vais payer plus d’impôts.

Tout revenu, qu’il soit d’origine professionnelle ou le résultat d’investissements, est soumis à l’impôt. Toutefois, l’assurance vie est un placement dont l’objectif est de capitaliser sur le long terme : si aucun retrait n’est effectué sur le contrat, aucun impôt sur le revenu n’est exigé. L’assurance vie a la particularité d’offrir un avantage fiscal au bout de huit ans de détention. Tant que l’épargne reste investie, le capital et les éventuelles plus-values (gains) générées sur le contrat ne sont pas imposés à l’impôt sur le revenu. En cas de retrait avant huit ans, les plus-values sont soumises à l’impôt sur le revenu et aux cotisations sociales. Après huit ans, l’avantage fiscal sur les plus-values s’applique : exonération d’impôt annuelle dans la limite de 4 600 € (pour une personne seule) et 9 200 € (pour un couple), puis le reste est imposé au taux de 7,5 % au lieu de 12,8 %. Les prélèvements sociaux s’appliquent également, à hauteur de 17,2% depuis le 1er janvier 2019.

Afin de pouvoir bénéficier chaque année de l’abattement fiscal disponible avec l’assurance vie, il est possible pour l’épargnant, après huit ans de détention du contrat, d’échelonner ses retraits sur plusieurs années.

Par ailleurs, l’assurance vie offre également un avantage fiscal lors de la succession et de la transmission de patrimoine. 

 

7

Je n’ai pas l’âge pour ouvrir un contrat d’assurance vie

Il ne faut pas confondre assurance vie et assurance décès. L’assurance décès est un véritable produit d’assurance : une personne décide de verser une prime de départ ou cotisation annuelle, qui conditionnera le versement à son décès d’un capital, au bénéficiaire de son choix. Quant à l’assurance vie, il s’agit d’un placement financier dont l’épargnant peut profiter de son vivant, et qui permet de choisir des bénéficiaires en cas de décès.

Anticiper le long terme se prévoit, aussi il peut être intéressant d’épargner le plus tôt possible. L’assurance vie permet de constituer un capital pour soutenir financièrement des projets à venir (mariage, achat logement, voyages, études des enfants, retraite…), aussi plus cela sera anticipé, plus le capital sera potentiellement important. L’épargnant peut ensuite faire évoluer son placement à son rythme, en effectuant des versements libres ou programmés selon sa situation du moment.
L’assurance vie est même ouverte aux enfants : les parents peuvent souscrire pour eux un contrat dès leur naissance. 

En matière de transmission, l’assurance vie présente un intérêt fiscal pour les bénéficiaires, qui diffère selon que les versements ont été effectués avant ou après les 70 ans du souscripteur.

 

8

Je n’y connais rien donc je risque de mal investir et mal gérer mon épargne.

En assurance vie, plusieurs combinaisons sont possibles afin de construire un placement adapté à chaque profil d’épargnant. Opter pour la gestion profilée permet d’investir en s’appuyant sur une formule prédéfinie, choisie en fonction du profil. Opter pour la gestion libre est l’autre possibilité, qui permet de constituer un portefeuille à sa guise (dans la limite des contraintes propres à chaque contrat). CORUM Life propose une approche orientée vers l’épargnant, afin qu’il puisse comprendre exactement dans quoi il investit, et ce même s’il est novice.

Mais chacun son métier : l’épargnant n’est pas nécessairement un professionnel de la gestion de patrimoine ! Si besoin, les conseillers en gestion de patrimoine sont habilités à accompagner leurs clients afin de définir quel contrat est le plus en phase avec leurs besoins.

CORUM L’Épargne, en sa qualité d’agent général d’assurances, est également en mesure de proposer directement un accompagnement à l’épargnant : conseiller dédié, rendez-vous sur mesure, recommandation de placement, accompagnement lors de la période fiscale font partie des services disponibles pour chaque épargnant. Une équipe d’experts étudie chaque projet, situation personnelle et patrimoniale. 

 

9

J’ai déjà un contrat d’assurance vie, je n’ai pas besoin d’en ouvrir un autre

A la différence d’autres placements, il est possible pour l’épargnant d’ouvrir plusieurs contrats d’assurance vie. Ceci peut permettre de répondre à des objectifs différents, tant en termes de stratégie d’investissement que de gestion personnelle.

Ouvrir un ou plusieurs autres contrats permet de diversifier les fonds, risques et horizons de placement ; cela permet aussi d’opter pour divers types de gestion (libre, profilée, pilotée). Cela est aussi intéressant pour désigner des bénéficiaires différents en fonction des contrats, optimiser sa fiscalité, ou effectuer une co-souscription.
Le contrat CORUM Life est le seul donnant accès, en exclusivité, aux fonds immobiliers et obligataires de la gamme CORUM L’Épargne. 

 

10

Je préfère ouvrir un contrat d’assurance auprès de ma banque ou de mon assureur que je connais bien

Tous les professionnels proposant un contrat d’assurance vie sont soumis aux mêmes règles. Le marché est régulé par l’ACPR (Autorité de contrôle prudentiel et de résolution), l'organe de supervision français de la banque et de l'assurance. Les banques sont simplement des intermédiaires, qui commercialisent des contrats composés de fonds gérés par d’autres établissements financiers. Cette intermédiation explique le millefeuille de frais pour l’épargnant. L’émergence de nouveaux acteurs sur le marché a permis de faire entrer de la concurrence, et de remettre en question certains modèles. Le groupe CORUM, premier à avoir commercialisé des SCPI investies à l’étranger, a créé une compagnie d’assurance vie, CORUM Life, première à avoir obtenu un agrément en France depuis plus d’une décennie. Le groupe a ainsi intégré le marché en y apportant son approche unique « du producteur à l’épargnant », qui a déjà été élue par près de 60 000 épargnants.

Pour l’épargnant, c’est bien l’offre qui doit permettre de faire la différence entre les différents acteurs du marché. Sa lisibilité, la traçabilité de son historique de performance, la reconnaissance de professionnels ou d’épargnants sont des éléments à prendre en compte pour choisir son contrat. En un an, le contrat CORUM Life a reçu neuf récompenses.

 

Par 

CHLOÉ BOYELDIEU

 

À (re)voir : webinaire sur les 10 idées reçues sur l’assurance vie 

 

Pour aller plus loin sur l'assurance vie : 

 

1Étude annuelle sur les attitudes et opinions des épargnants à l’égard des produits financiers, AMF, 2020
2Source FFA
3Source ASPIM/IEIF : 4,18%

CORUM L'Épargne, SAS au capital social de 100 000 €, RCS Paris n° 851 245 183, siège social situé 1 rue Euler 75008 Paris, inscrite auprès de l’ORIAS sous le numéro 20002932 (www.orias.fr) en ses qualités de conseiller en investissements financiers, membre de la CNCIF, chambre agréée par l’AMF, de mandataire en opérations de banque et services de paiement, de mandataire d'intermédiaire d'assurance et d’agent général d’assurance sous le contrôle de l’ACPR, 4, place de Budapest CS 92459 75436 Paris Cedex 9.
CORUM Life est un contrat en unités de compte commercialisé par CORUM L'Épargne et géré par la compagnie d’assurance CORUM Life, SA à directoire et conseil de surveillance au capital social de 20 000 000 € régie par le Code des assurances, RCS Paris n° 852 264 332. Siège social 1 rue Euler 75008 Paris. Société soumise au contrôle de l’ACPR, 4 place de Budapest 75436 Paris Cedex 9. 
Les SCPI CORUM Origin, visa SCPI n°12-17 de l'AMF du 24 juillet 2012 et CORUM XL, visa SCPI n°19-10 du 28 mai 2019 sont gérées par CORUM Asset Management, société de gestion de portefeuille, SAS au capital social de 600 000 €, RCS PARIS n° 531 636 546. Siège social 1 rue Euler 75008 Paris. Agrément AMF GP-11000012 du 14 avril 2011.
Les fonds obligataires BCO, CBEHY, CBSG et CORUM Butler Smart ESG sont des fonds OPCVM gérés par la société CORUM Butler Asset Management, domiciliée en Irlande et agréée par la Banque Centrale d'Irlande (CBI) le 19 octobre 2018 (n° C176313).

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