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Les produits commercialisés par CORUM L'Épargne sont des investissements long terme qui n’offrent aucune garantie de rendement ou de performance et présentent un risque de perte en capital et de liquidité. Les revenus ne sont pas garantis et dépendent de l’évolution du marché immobilier et financier et du cours des devises. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

 

 

IMMOBILIER BELGIQUE

Le secteur de l’immobilier en Belgique a connu la même embellie que chez ses voisins européens. La reprise est là et révèle certaines opportunités d’investissement. L’acquisition de biens immobiliers belges est possible en suivant et en respectant certaines démarches.

Immobilier en Belgique : le marché résidentiel en 2016

L’ensemble des pays de la zone euro semble suivre la même tendance concernant l’immobilier. En Belgique, le marché reprend des couleurs avec une année 2016 marquée par la reprise. En effet, le volume des échanges de logements a augmenté de 8,2 % par rapport à l’exercice précédent selon les notaires. Si la Wallonie a connu un certain tassement à 2,8 % des transactions, elles ont augmenté de 12,5 % dans la capitale de la Belgique. La Région flamande a quant à elle connu un bond du volume des ventes de 13,6 %.

Les démarches d’investissement dans des biens immobiliers belges

L’immobilier en Belgique serait attractif si l’on se réfère au baromètre des notaires, et un investissement pourrait s’avérer intéressant financièrement. Acquérir des biens immobiliers belges nécessite d’effectuer un ensemble de démarches propres au pays. Des éléments importants sont à prendre en compte, comme :

  • L’engagement d’achat immobilier : il désigne un acompte, qui peut être réclamé par un vendeur en Belgique. Si l’investissement venait à être annulé, la somme versée au titre de la promesse d’achat serait perdue. Il demeure cependant facultatif.
  • Les frais de transfert : ils représentent 20 % du montant de la transaction pour les biens immobiliers belges. S’ils sont vendus après 5 ans, les plus-values ne sont plus concernées.
  • Le compromis de vente : c’est le document qui confirme la vente. Il peut contenir des clauses supplémentaires pour les biens immobiliers belges acquis via un emprunt bancaire.
  • La caution : elle est comprise entre 5 et 10 % de l’investissement. Elle sera débloquée à la suite de la signature de l’acte notarié de vente, qui doit intervenir dans les 4 mois suite au contrat d’achat.

Immobilier en Belgique : l’investissement dans un fonds de commerce

L’immobilier en Belgique, qu’il soit résidentiel ou professionnel, doit respecter des règles. Dans le cadre de la cession d’un fonds de commerce, les démarches suivantes doivent notamment être suivies :

  • Établir un nouvel acte de vente par écrit. Il n’est pas obligatoire, mais recommandé, car il contient l’ensemble des informations du fonds de commerce. Ce document présente aussi l’avantage d’être signé par un notaire immobilier de Belgique.
  • Obtenir l’équivalent du certificat de non-gage. La cession de ce bien immobilier se fera avec la mention « quitte et libre » pour éviter tout conflit avec d’éventuels créanciers belges qui pourraient avoir des droits.

Dès lors qu’un accord sur le prix du bien immobilier a été trouvé, les deux parties peuvent convenir des modalités de paiement : au comptant ou en plusieurs versements. En Belgique comme dans d’autres pays, des garanties financières peuvent être exigées par le vendeur.

Se tourner vers la pierre papier pour l’immobilier de Belgique

L’immobilier en Belgique, notamment professionnel, est également accessible en s’adressant à un gestionnaire de patrimoine détenteur d’une Société Civile de Placement Immobilier (SCPI). La plupart de ces produits immobiliers reposent sur des parcs dont les immeubles peuvent être situés dans les pays de la zone euro, comme la Belgique. La diversification géographique du patrimoine est effectuée dans une optique de mutualisation du risque, afin de privilégier la distribution des dividendes éventuels aux associés.