Assurance vie : le fonds en euros, une alternative solide au Livret A en 2025

Le Livret A a longtemps été le chouchou des épargnants français. Avec ses 3 % garantis, il a attiré des milliards d’euros en 2023 et 2024 (1). Mais voilà : depuis le 1er août 2025, son taux est tombé à 1,7%, après une première baisse à 2,4% en février. De quoi pousser de nombreux Français à chercher des solutions plus rémunératrices.

Et c’est là que l’assurance vie, et plus particulièrement les fonds en euros, refont parler d’eux. Supports à faible volatilité, ils affichent des performances supérieures. CORUM L’Épargne et son fonds EuroLife en est la preuve : 4,45 % net en 2023, puis 4,65 % en 2024 (2), le meilleur fonds en euros du marché selon Capital (n°371 – janvier 2025).

 

Le Livret A en perte de vitesse

 

Le Livret A reste imbattable sur un point : sa fiscalité. Les intérêts sont exonérés d’impôt et de prélèvements sociaux. Mais avec une rémunération de 1,7 % en 2025, il ne permettra même plus de compenser l’inflation.

Contrairement au Livret A, les intérêts de l’assurance vie sont soumis aux prélèvements sociaux de 17,2 %.  De ce fait, et comme l’explique le magazine Capital, pour obtenir le même rendement net (après déduction des impôts) que le Livret A, un fonds en euros doit afficher au minimum 2,06 %.

Avec 4,65 % en 2024, le fonds CORUM EuroLife reste donc largement au-dessus, même après fiscalité.

 

Les frais sur versement : à surveiller

 

L’article de Capital rappelle un autre point de vigilance : les frais sur versement. Certaines assurances vie prélèvent jusqu’à 5 % à chaque dépôt, ce qui peut rogner la performance.

Chez CORUM L’Épargne, les frais sont clairement affichés et assumés : ils financent une gestion active et performante qui permet, année après année, de délivrer des rendements parmi les meilleurs du marché.  

Le fonds CORUM EuroLife est accessible dès 50 €. Il est exempt de frais d’entrée et de sortie, et n’applique que des frais de gestion de 0,6 %. Alors, comment expliquer sa performance ?

  • Un produit lancé au bon moment : CORUM L’Épargne a choisi de lancer son fonds euro au moment où les conditions de marché étaient particulièrement favorables, avec des taux d’intérêt revenus à des niveaux élevés. Cette approche opportuniste a permis au groupe de saisir les meilleures opportunités d’investissement dès le départ, au bénéfice des épargnants.
  • Deux savoir-faire historiques : Le groupe CORUM s’appuie sur deux expertises reconnues : l’investissement en obligations et l’immobilier. Grâce à ces compétences, l’équipe de gestion sélectionne des placements diversifiés et solides partout en Europe, ce qui contribue aussi à la performance et à la stabilité du fonds euro CORUM EuroLife.
  • 25 % maximum dans votre contrat : CORUM applique une règle essentielle : ne proposer le fonds euro qu’à hauteur de 25 % maximum du contrat d’assurance vie CORUM Life. Ce choix garantit que chaque euro collecté peut être investi de manière efficace et performante, sans dilution de la qualité des placements. Cela permet donc aussi de préserver l'équilibre du contrat et la solidité des rendements dans le temps.

 

 

2025 : le retour de l’épargne des Français à l’assurance vie  

 

La tendance est claire : après des années record pour le Livret A, les épargnants redirigent désormais leur argent vers l’assurance vie. En 2025, ce placement pourrait être le grand gagnant de la bataille de l’épargne, grâce à des rendements supérieurs et une meilleure valorisation du capital sur le long terme.

 

Verdict : face à un Livret A en chute libre, les fonds en euros reprennent la main. Et quand on vise plus de performance potentielle, CORUM L’Épargne peut clairement faire la différence.

 

(1) Le Cercle de l’Epargne - 22 janvier 2025

(2) Performance de CORUM EuroLife exprimée nette des frais de gestion et avant prélèvements sociaux.

 

CORUM Life est un contrat composé d'un fonds euro et d'unités de compte. Contrairement au fonds euro qui garantit le capital diminué des frais de gestion, les unités de compte sont sujettes à des fluctuations, à la hausse ou à la baisse. Elles présentent des risques de perte en capital dépendant en particulier de l’évolution des marchés financiers ou immobiliers. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures. 

 

Par 

Faustine RIOT